Afin de pouvoir favoriser des produits et solutions bas carbone, il faut pouvoir mesurer puis comparer les émissions carbone pour un produit donné, dans des conditions réelles de production, de la matière première au produit livré chez le client. C’est l’objet des EPD (Environmental Product Declarations).
Déjà de plus en plus de donneurs d’ordre les demandent lors des phases d’appels d’offres.
2. Impact
Scope impacté
Scope 1
Scope 2
Scope 3
Non applicable
Potentiel de réduction de l’empreinte carbone (CO2eq évité entre cette pratique et une autre solution) :
Justification des modalités de calcul de l’économie deCO2eq (référentiel, facteurs d’émission, etc.) :
La mesure de l’empreinte carbone ne la réduit pas, mais utiliser cet outil permet de mettre en évidence l’efficacité des actions engagées de manière comparable et de continuer à identifier les futurs leviers d’amélioration sur un périmètre produit, et de motiver les fournisseurs qui soumettent leur offre.
3. Mise en œuvre
Montant de l'investissement
Supérieur à 10 000€
Inférieur à 10 000€
Inférieur à 5 000€
Inférieur à 500€
Commentaire sur l’investissement nécessaire :
Coût de la construction et validation tierce partie de l’EPD.
Rapidité de mise en application
En plus d'un an
En plus de 6 mois
En moins de 6 mois
Commentaire sur la rapidité de mise en application :
Gestion du changement
Solution exigeant des adaptations conséquentes
Solution exigeant des adaptations modérées
Solution sans adaptation nécessaire
Commentaire sur la gestion du changement :
Nécessité d’avoir les données nécessaires (consommation par ligne, par machine pour les scopes 1 et 2).
Quels freins à la mise en œuvre de votre bonne pratique (compétences, coûts, conditions de réplicabilité, homologation, etc.) ?
Doit découler d’une demande client.
Besoin d’une certification tierce partie pour valider la méthodologie et les résultats. Ce qui rend l’exercice coûteux car valable pour un couple produit/client.